Les causes et effets de la tempête climatique mondiale sont globalisées. Les effets des gaz à effet de serre ne se limitent pas à des « points chauds » localisés. Ils n’ont pas de frontières, et sont plus brutaux dans les zones où les émissions sont faibles.
Nous avons besoin de faire converger notre morale et les valeurs éthiques pour nous attaquer à ce vaste problème. L’organisation de jeunes SustainUS a mené une expérience sociale hier jeudi au centre de conférence de Doha pour tester cette prémisse.
Les représentants des jeunes ont demandé aux personnes entrant dans le centre de conférence à quoi ils consacreraient leur argent, comme ça, s’ils devaient être les seuls à en décider : le Fonds Vert pour le Climat, les financements précoces, les financements post-2012, les dépenses militaires ou les subventions aux énergies fossiles.
Chaque interrogé a reçu de l’argent fictif au début des tapis roulants menant au centre de conférence, et devait décider de où son argent serait le mieux dépensé. A la fin de l’expérience, le Fonds Vert était le grand gagnant. Le calcul de bon sens fait sur les tapis roulants était un choix de supporter ceux qui sont en plus mauvaise posture.
Les 1,2 milliards de personnes qui vivent avec moins de 1 dollar par jour méritent plus de profiter de 100 dollars que quelqu’un vivant avec 100 000 millions de dollars par an. Ce rapide calcul semblait assez automatique dans les esprits des participants mis face à un choix clairement formulé.
Pourtant, selon un rapport du Conseil de défense des ressources naturelles, les subventions aux énergies fossiles en 2012 étaient approximativement de 775 milliards de dollars au niveau mondial…
Et pendant ce temps, le Fonds Vert, lui, stagne à 0 dollar, les financements précoces se situent toujours bien en dessous des 30 milliards (même en occultant le double-comptage de l’aide au développement), aucune feuille de route n’est établie pour les financements de moyen terme entre maintenant et 2020, et aucun engagement n’est pris pour commencer à mobiliser des sommes pour le Fonds Vert alors que Doha touche à sa fin.
Nous avons besoin de faire converger notre morale et les valeurs éthiques pour nous attaquer à ce vaste problème. L’organisation de jeunes SustainUS a mené une expérience sociale hier jeudi au centre de conférence de Doha pour tester cette prémisse.
Les représentants des jeunes ont demandé aux personnes entrant dans le centre de conférence à quoi ils consacreraient leur argent, comme ça, s’ils devaient être les seuls à en décider : le Fonds Vert pour le Climat, les financements précoces, les financements post-2012, les dépenses militaires ou les subventions aux énergies fossiles.
Chaque interrogé a reçu de l’argent fictif au début des tapis roulants menant au centre de conférence, et devait décider de où son argent serait le mieux dépensé. A la fin de l’expérience, le Fonds Vert était le grand gagnant. Le calcul de bon sens fait sur les tapis roulants était un choix de supporter ceux qui sont en plus mauvaise posture.
Les 1,2 milliards de personnes qui vivent avec moins de 1 dollar par jour méritent plus de profiter de 100 dollars que quelqu’un vivant avec 100 000 millions de dollars par an. Ce rapide calcul semblait assez automatique dans les esprits des participants mis face à un choix clairement formulé.
Pourtant, selon un rapport du Conseil de défense des ressources naturelles, les subventions aux énergies fossiles en 2012 étaient approximativement de 775 milliards de dollars au niveau mondial…
Et pendant ce temps, le Fonds Vert, lui, stagne à 0 dollar, les financements précoces se situent toujours bien en dessous des 30 milliards (même en occultant le double-comptage de l’aide au développement), aucune feuille de route n’est établie pour les financements de moyen terme entre maintenant et 2020, et aucun engagement n’est pris pour commencer à mobiliser des sommes pour le Fonds Vert alors que Doha touche à sa fin.
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